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Marchionne À La Tête De Ferrari?


fredicot

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Ce qui est effrayant c'est Montezemolo était un proche d'Enzo et qu'il dirigé de la meme facon, c'est a dire qu'il poussée les ingénieurs a sortir le mieux d'eux meme

Quid de ce que sera capable de faire Marchionne...

L'entrée en bourse n'est pas forcément un truc trés rassurant non plus, et encore moins la fin de l'indépendance de Ferrari, Ce qui avait toujours était hors de question a l'époque d'Enzo

Avec le caractère qu'avait Enzo Ferrari, je serait pas étonnée qu'il sorte de sa tombe et dégage Marchionne a coup de pied dans le *** pour remanier tout ca! lol

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Enzo Ferrari n'était pas du tout financier, il faisait des voiture de route pour financer la course, quitté à être proche de la ruine...Lucas Di montezemolo était je pense le juste milieu, il a su remonter la marque, il c'est jamais autant vendue de Ferrari et la marque n'a jamais était autant rentable. Seulement pas de chance pour lui, la division course traverse un moment difficile, donc il fallait un bouc émissaire. Il connaissait bien la course et est le 1er fan de Ferrari.

Maintenant Marchionne arrive, lui seulement un grand financier...je crains le pire, après Lancia, Alfa ( on connaît pas trop son devenir), Fiat qui n'est plus que mono produit la 500...j'ai de forte doute sur le devenir de Ferrari...Heureusement qu'elle a la plus belle image qui soit pour une automobile, ce qui peut la sauver de ce banquier...

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Hummm oui et non, c'est surtout lors du rachat par FIAT (enfin une partie) que la Scuderia Ferrari ce porte bien mieux question finance.

La produiction des Ferrari " de route" est bloquer a 7000 unités depuis quelques temps déjà, pour justement garder une certaine exclusivité et ainsi laisser les prix s’envoler, donc oui Montezemolo est un bon financier mais c'est surtout un bon stratège car sans augmenter les ventes ils augmentent les marges en toute légitimité

Alors que Marchionne risque de vendre le maximum possible pour faire rentrer l'argent, et pour l'image de marque c'est très mauvais

Montezemolo saute mais apparemment les problèmes viennent d'en dessous, certains responsables aurait privilégie l’aérodynamisme aux moteurs, le moteur est donc plus petit que les autres écuries et l’aérodynamisme n'a en rien comblé le manque de puissance, comme il était prévu

Certains ingénieur aurait prévenu mais quelques responsables ont joué sur leur autorité pour imposée leur choix

C'est du moins ce qu'un ingénieur mis a la porte a révélé dans un article de presse

Bref, un remaniement interne est a prévoir je pense

Modifié par gat'
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Bonsoir.

Voici une photocopie d'un article sur l'entreprise Ferrari qui change de direction, mais on le savait déjà depuis quelque temps.

Quelle serait son évolution ?

Je lis également des journaux économiques italiens et le personnel semble être inquiet.

Radio moquetté laisse plus ou moins entendre le déplacement de l'entreprise aux USA.

Comme dit le dicton, Il n'y a jamais de fumée sans feu. A suivre...

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Pitié non !!!!

J'en meurs d'avance de voir ce personnage à la tête de Ferrari, il va "démocratiser" cet emblême de la voiture...

Pitié, pas de diesel sur une F12 ou F458 comme ils ont fait chez Maserati.. tim

Et tout ça à cause des mauvais résultats de la marque en F1...

Font chier les eng, à force de pondre des réglements à la con ( facilement détournés par les ingénieurs ) :ph34r:

Di Montezemolo a été le fils spirituel ( technique et logistique) de Sieur ENZO, il aura su mener cette marque à ce qu'elle est aujourd'hui, et ce, malgré une concurrence acharnée..

Il a dédié sa vie à cette marque, et moi je dis : CHAPEAU BAS, LUCA!!!!

Maintenant, on va avoir un épouvantail commercial avec, déjà, une production revue à la hausse, ( on parle d'une montée de 7.000 exemplaires à 10.000/an) .

Certes, il vaut mieux voir une production augmentée que de perdre des clients éventuels mais la rareté( et donc le prix en global) des Ferrari va en prendre un coup....

Pourvu, aussi, que l'ensemble des productions restent in-terra italia... :wub:

Du coup, je deviens nostalgique des trentes glorieuses, à cette époque, LA passion prenait le pas sur le commercial, même si parfois les finances étaient limites.....Sic....

Modifié par remushfr
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  • il y a 2 weeks...

L'idée de créer un pôle finzncier Ferrari ,Alfa, Maserati et jeep totalement dépendant de Fiat est une très bonne idée à mon avis. À suivre mais je pense que ça peut être une clé pour réussir !

Si c'est pour avoir des pièces TOTALEMENT Alfa, je ne dis pas non, par contre, le budget risque de grimper en flèche...Et ça, nombre d'Alfiste ne suivront peut-être pas..

Alfa Romeo est une marque de passionnés, à mon avis, et il ne faudrait pas que la marque devienne ellitiste, de plus l'état des concessions ne le permets à ce jour...

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Alfa Romeo est une marque ancienne et anciennement élitiste.

c'est peut être la bonne voix et en plus le directeur France allait dans ce sens en invoquant l'élargissement de la gamme mais aussi devenir un prenium

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Sauf qu'Alaf ne s'est jamais aussi bien porté que quand elle a pratiqué des tarifs légerement inférieurs à la concurence "populaire" avec un design à coupé le souffle pour l'époque.

Et ça a commencé en 1997 à la sortie de 156 pour s'arreter avec la 159 et ses tarifs élitiste "à la Premium"...

Avant de partir dans l'idée d'une marque élitiste il faur redresser l'image dela firme et ce n'est pas la seule 4C qui suffira à cacher la foret.

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  • il y a 2 weeks...

Ferrari : les dessous d'un putsch

Davantage que les mauvais résultats sportifs, ce sont les divergences sur l'avenir du cheval cabré qui ont conduit à l'éviction de Luca di Montezemolo.
Le cheval cabré est décapité. Président de Ferrari depuis vingt-trois ans, le marquis Luca Cordero di Montezemolo a été démissionné mercredi par l'administrateur délégué du groupe Fiat, Sergio Marchionne. Les événements se sont précipités après le désastreux résultat de la "scuderia" dimanche au Grand Prix d'Italie : abandon d'Alonso et neuvième place pour Räikkönen.
Nous avons les meilleurs ingénieurs et les meilleurs pilotes, avait déclaré à chaud Sergio Marchionne. L'objectif de Ferrari est la victoire, pas la 9e place. Avant d'ajouter : "Personne n'est indispensable."
Difficile d'être plus clair alors que Luca di Montezemolo venait d'annoncer son intention de rester encore trois ans à la tête de Ferrari.
Trois jours auront suffi pour formaliser le départ de Luca di Montezemolo.

Trésor
Certes, le dernier titre de champion du monde de l'écurie de Maranello remonte à 2008 et les tifosi de la scuderia font grise mine. Mais, en vingt-trois ans à la tête de Ferrari, Montezemolo peut revendiquer 108 victoires en Grand Prix, 8 titres mondiaux de constructeur et 6 de pilote. Sous sa direction, Ferrari a remporté davantage de succès qu'aucune autre écurie. Un bilan qu'envieraient tous les autres patrons de la Formule 1.
Et ces succès sportifs vont de pair avec les résultats économiques de l'entreprise. Lorsque, dans les années 1990, Luca di Montezemolo arrive à Maranello, Ferrari vend 2 366 voitures par an et perd 4 millions d'euros. Vingt-trois ans plus tard, la marque vend 6 992 voitures, réalise un chiffre d'affaires de 2,3 milliards d'euros et un bénéfice d'exploitation de 364 millions.
Derrière ces chiffres se cache toutefois un autre trésor : la valeur de la marque Ferrari. Selon Brand Finance, un organisme qui évalue la valeur des marques, le cheval cabré est l'enseigne la plus puissante au monde devant des géants comme Coca-Cola, Google, Disney ou Rolex. Le seul merchandising Ferrari - des casquettes aux parcs à thème en passant par les moteurs de Formule 1 vendus comme objets d'art - représente 50 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Électron libre
Pour atteindre cette image d'excellence, Luca di Montezemolo a joui d'une totale autonomie au sein du groupe Fiat. À l'opposé des traditionnelles stratégies du secteur automobile, il a limité la production à 7 000 voitures par an pour préserver la rareté des modèles. Il a remplacé les robots par des ouvriers et a engagé les meilleurs ingénieurs (chaque offre d'emploi reçoit plus de 1 000 candidatures). Chaque modèle est façonné selon les desiderata du client, qui bénéficie d'un service après-vente unique au monde.
Mais Fiat est aujourd'hui à un tournant. Intégrant Chrysler, le groupe va changer son nom en Fiat Chrysler Automobiles (FCA) et sera coté à New York le 13 octobre prochain. L'objectif est de passer rapidement d'une production de quatre millions de voitures à six millions. Sergio Marchionne veut arriver à ce rendez-vous avec un groupe homogène, sans l'électron libre Montezemolo. En assumant la présidence de Ferrari, Sergio Marchionne démontre qu'il n'y a qu'un seul pilote dans l'avion FCA.
Sans renoncer toutefois à l'apport du brand Ferrari. Les analystes prédisent la création d'un pôle de luxe qui réunirait Alfa Romeo, Maserati et Ferrari et ferait rejaillir le prestige du cheval cabré sur l'ensemble des trois marques. Une Ferrari remise au pas, au service du groupe et dirigée depuis Detroit. "Ils veulent américaniser Ferrari", avait lâché Luca di Montezemolo, fou de rage au soir de son licenciement. Reste à savoir si la scuderia n'en perdra pas son âme.

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Mince.........

Qui a encore confiance en Mr MArchionne, je fais partie de ceux qui ont peur de sa présence et doute encore de l'avenir du groupe( même si les prévisions paraissent intéressantes pour l'avenir, j'attends de voir).

Pour moi, et bien d'autres,Luca Di Montezemolo a été le fils "technique et commercial" de Feu Enzo, il a fait ce que Ferrari est aujourd'hui.....

Certes Ferrari F1 patauge depuis le départ de Michael Schumacher, mais les largesses de réglement y sont pour beaucoup, une écurie comme Ferrari s'est , on peut le dire, "contentée" de respecter le réglement en cours alors que d'autres ont sorti, soit le F-Duck, la suspension pilotée, etc...Ils ont manqué de filouterie, peut-être pouir protéger l'image commerciale de la marque, pourquoi pas...

On risque de voir une production en dehors de l'Italie, j'en ai bien peur, car l'Amérique ne sera jamais assez grande pour Mr Marchionne....

Nous, les petits, respectons ce qu'à fait Di Montezemolo ,le rêve qu'il a su nous donner tout au long de ces années par ses décisisons politiques, commerciales et techniques, moi je dis : Bravo Monsieur Luca et merci pour tout cela.....

Modifié par remushfr
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Pour Ferrari il ne faut pas se mentir. Ils veulent entretenir l'illusion qu'ils disposent des meilleures ingénieurs au monde, mais force est de constater que ce n'est plus le cas. Le départ de Schumi ni est pour rien là dedans, pour gagner en F1 il ne suffit pas d'un bon pilote, il faut une bonne voiture et une bonne équipe derrière.

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Oui Cavalera, il faut tout, des ingénieurs CAPABLES de contourner le réglement ou de le suivre à l'extrème limite de l'interprétaion technique; et cest bien en cela que Ferrari a péché depuis des années..

Si je me souviens bien, les derniers " retors" de la Fia concernant le réglement sont l'affaire du Bérylium et des moustaches souples...Autant dire que ça remonte......Depuis, comme je le disais plus haut, ils ont les foies de faire un pas, ne serait-ce qu'un seul, en dehors des limites.....Alors que la concurrence s'est fait les choux (points) gras, de quelques varaitions...

D'ailleurs, il n'est peut-être pas étonnant de voir A.Newey prendre du recul l'année prochaine, le manque de largesse interprétative doit le lasser à la longue...

Pis, le moteur loupé de cette année est bien la dernière chose à laquelle on pouvait s'attendre, un comble lorsqu'on connait la qualité des moteurs Ferrari depuis des lustres...........Maserati serait-il en passe de donner un appui à la maison-mère comme ils vont le faire pour Alfa? :quoi:

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Pis, le moteur loupé de cette année est bien la dernière chose à laquelle on pouvait s'attendre, un comble lorsqu'on connait la qualité des moteurs Ferrari depuis des lustres...........Maserati serait-il en passe de donner un appui à la maison-mère comme ils vont le faire pour Alfa? :quoi:

Je comprend pas tout, c'est pas Ferrari qui fournit les moteurs à Maserati? Et c'est bien Ferrari qui développe le futur V6 turbo que l'on retrouvera peut être sur les Alfa...

Ferrari ne fait pas de moteurs turbo.

Donc effectivement, Maserati qui est plutôt réputé pour ça...

Euh pas de moteur turbo chez Ferrari!!?? je pense qu'il connaissent très bien les turbos, ils ont eu aussi leurs moteurs turbo F1 dans les années 80/90...

Et il y a eu la 208 GTS turbo, la 288 GTO ensuite la fameuse F40...Dernièrement, la California T et ils vont surement sortir la 458 Italia avec un bi-turbo de 680cv pour contre la Mac-Laren 650s.

Je pense surtout qu'ils ont pas fait les meilleurs choix technique pour la F1, mais si tu compares Renault pourtant réputé très bon motoriste F1 et connaissant bien les turbo ils font pas mieux. L'aero et le chassis de la voiture y est aussi pour beaucoup, regardez une Mac-laren ce qu'elle fait avec le moteur Mercedes....

Je vois mal Ferrari allez chez Maserati, qui n'a pas fait de compétition depuis des années, leur demander conseille...Me trompe peut être....

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Ce n'est pas la technologie du turbo qui est en cause, et comme le dit Fred, ils ont déjà appliqué cette greffe sur des modèles tels F40, 288GTO...mais sont plus garrants d'un atmosphérique..

Je parle surtout de l'architecture moteur qui est loupée, cette histiore d'arbre d'équilibrage ou autre trouvaille, un ensemble trop lourd aussi , plusieurs kilos de différence avec le bloc Mercédès, là est le gros défaut du bloc transalpin

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Fiat Chrysler: le patron Sergio Marchionne restera au moins jusqu'en 2018

L'emblématique patron du constructeur automobile italo-américain Fiat Chrysler, Sergio Marchionne, 61 ans, a indiqué mardi qu'il resterait à la tête du groupe au moins jusqu'en 2018, date limite à laquelle court le nouveau plan stratégique.

"Je vais rester pour le plan", a déclaré M. Marchionne, lors d'une conférence de presse retransmise sur le site internet du groupe, après la présentation de ce plan, qui repose en grande partie sur la relance de la marque mythique Alfa Romeo, aux investisseurs mardi à Auburn Hills (Michigan, nord-est).

La presse italienne avait spéculé ces derniers mois sur l'avenir à la tête de Fiat Chrysler de Sergio Marchionne, d'aucuns le donnant partant après l'annonce de ce plan stratégique portant sur la période 2013-2018.

Il avait laissé lui-même entendre qu'il pourrait partir en 2015. Cet Italo-Canadien, juriste de formation, est crédité du renouveau de Fiat. Il avait déjà opéré le redressement du groupe suisse SGS, spécialiste des certifications, dont la famille Agnelli, propriétaire de Fiat, était actionnaire.

lo/glr

FIAT

SGS SA - SOCIETE GENERALE DE SURVEILLANCE

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