Aller au contenu

PESCAFAN

Alfistes actifs
  • Compteur de contenus

    14
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de PESCAFAN

  • Date de naissance 02/04/1967

Previous Fields

  • Localisation
    Aisne
  • Voiture
    ALFA 166 2.4 JTD 175 Sportronic

Visiteurs récents du profil

1 861 visualisations du profil

PESCAFAN's Achievements

Newbie Alfiste

Newbie Alfiste (1/15)

  1. Bonjour, je ne suis pas un expert en gravure, j'ai besoin d'un ou deux tuyaux. Je viens d'acquérir une 166 avec système G3 pour GPS. Vu que je l'ai achetée en Italie, il me faut le CD avec cartographie France. 1. Peut-on utiliser une copie du CD original ? 2. Sur le net, on peut télécharger avec rapidshare les 6 fichiers de la version 2007-2008. Quand ils seront sur mon disque dur, comment faire ? Une simple gravure des fichiers suffit-elles pour que le navigateur s'initialise correctement ? Ne faut-il pas réunir les 6 fichiers en un seul. Et si oui, comment ? Un grand merci à l'avance. Pescafan
  2. Bon, j'avais promis de raconter mon aventure, je prends enfin le temps. Cela fait un ou deux ans que je rêvais d'acheter une Alfa 166. La ligne est sublime, surtout en phase II (histoire de goût). Je n'étais pas pressé, ma 155 2.5 TD étant encore très vaillante, malgré ses 240 000 km, et je n'ai pas eu de gros ennuis. Mais bon, avec une Opel Corsa 1.5 TD elle aussi ultra vaillante (380 000 km) et rentabilisée depuis très longtemps, ça faisait tout de même 640 000 km pour 2 voitures, et je n'étais pas à l'abri qu'une d'elle me fasse faux bond. Depuis avril 2009, j’étais donc en quête de ma Diva, sans me précipiter. Les concessionnaires français sont beaucoup trop gourmands, aussi ai-je axé mes recherches à l’étranger. Un petit voyage en Belgique pour voir une 2.4 175 boite manu en juin, et une affaire qui me passe sous le nez pour avoir pesé le pour et le contre trop longtemps (99 000 km, année 2004, laissée pour 9200 euros !). J'étais aussi en contact avec un garage Fiat/Alfa situé dans le Val d'Aoste, à 80 km de Turin, le responsable parle Français, il avait une 166 2.4 JTD 175 Sportronic de novembre 2004 (60 000 km, prix de vente = 12 500 euros). Quelques contacts et la proposition passait à 11 800 euros. Passant une semaine de vacances dans le Valais suisse, j'en profitais pour emmener femme et enfants voir la Belle. 3 heures de route tout de même (aller), mais à l'arrivée, quelle beauté ! Un essai (avec un italien qui ne parlait pas un mot de français, le responsable étant en vacances), et je bloque la voiture en attendant le retour dudit responsable. Retour en France, nouvelle discussion avec le responsable et finalement, je propose 11 200 euros, avec distribution complète (j'avais calculé mon coup, la voiture étant en vente depuis 3 mois au moins). Le temps que la voiture soit préparée (vidange, filtres, distribution...), nous voilà fin août et je prépare mon voyage pour l'Italie, ce sera le 5 septembre. Samedi 5 septembre Départ de Chauny (Aisne) à 5h30, arrivée gare du Nord à 6h50, départ TGV gare de Lyon à 7h40, arrivée à Turin à 13h30, sauf que les Carabinieri italiens ont fouillé le TGV dès la frontière passée, et que le train est arrivé en gare de Turin (Porta Suza) avec 40 minutes de retard. Résultat des courses : liaison vers le Val d'Aoste manquée, obligation d'attendre le train suivant, qui tombe en panne (je n’invente rien) et me débarque sur un quai inconnu... Un autre train a fini par arriver, mais je suis arrivé à Pont Saint Martin, sac à dos, avec 2 heures de retard. Impossible de joindre la concession pour qu’on vienne me chercher, me voilà condamné à faire 3 km de marche à vive allure. Pourquoi suis-je donc parti en chaussures de ville ? J’abandonne ces réflexions philosophiques et arrive enfin au moment où la concession allait fermer ! Bonjour le stress... Nous signons les papiers, dernières explications & vérifs, et c'est reparti pour la France. Je prends le temps de m'arrêter sur une aire italienne, j'introduis les CD que j'avais embarqués dans le chargeur, et je roule en me laissant bercer par la musique que j'aime. La belle vie, quoi ! J'entame la montée du col du Grand Saint Bernard, et là, les choses se gâtent, la boite reste bloquée en 4. Je m'arrête, appelle le garage, je tombe sur un responsable qui me donne le n° de Tel du mécano (10 ou 12 chiffres à mémoriser, impossible de trouver le moindre stylo pour noter, je fais chauffer les neurones !), j'appelle le mécano, personne ne répond, et me voilà en Carafe, dans ce col de tour de France, dans la brume, à 20 heures et par 2°C, à regretter de ne pas avoir une bicyclette et un bon vieux dérailleur pour continuer !!!. Rapide Etat des lieux : un sweat dans le coffre, quelques casse-croutes qui commencent à dater (mais il paraît que le froid conserve), de la bonne musique, le soleil qui arrive encore à percer la brume qui m'entoure.... et je me dis que la situation est grave mais pas désespérée. Une intuition : remettre le moteur en marche : le voyant boite a disparu, je prends ma respiration, balance les victuailles sur le siège arrière et relance le moteur. Ca marche ! Je franchis le col sans encombre, presque fier de mon coup (!), et j'amorce la descente en Suisse. De la famille m'attendait à Colmar, soit à près de 450 km de mon concessionnaire. Nous devions dîner ensemble, ce fut évidemment loupé, et j'arrivais vers minuit, après une seconde alerte boite juste en face du lac Léman (à croire que ça n'arrive que pour que je puisse admirer les paysages). Dimanche 6 septembre Repos bien mérité en Alsace, shopping le dimanche matin (histoire de ramener un Kugelhopf à la maison) et route vers l'Aisne... J'ai eu tord de m'inquiéter, la vie est un long fleuve tranquille... jusqu'à Saint Dizier, où j'ai commencé à déchanter. En Italie, les plaques d'immatriculation appartiennent à l'Etat, et les autorités délivrent un certificat d'immatriculation provisoire (transit) pour les véhicules qui sont exportés et... collé sur la lunette arrière de la voiture. Donc, pas de plaques rivetées sur le véhicule. Avant d'aller en Italie, j'étais sceptique mais, renseignement pris auprès de 3 préfectures, pas moins, j'avais eu confirmation que le rapatriement de la voiture était possible de la sorte. Il faut croire que les gens n’ont pas grand-chose à faire, puisque, selon les gendarmes, leur standard à explosé suite aux appels d’automobilistes me doublant ou que je doublais sur la voie rapide. Une vraie calamité, ces portables ! Là où ça devient carrément aberrant, c’est qu’une patrouille de 5 véhicules de gendarmerie m’ont pris en chasse. La voie rapide entre Nancy et Saint Dizier était totalement quadrillée. Un moment, lorsque j’ai été intercepté – imaginez comme le comité d’accueil peut impressionner -, je me suis dit qu’il n’y avait finalement pas grande différence dans les moyens mis en œuvre pour traquer le grand banditisme et l’honnête citoyen que je pense être. Direction la gendarmerie du coin, interrogatoire (courtois tout de même), saisie de la carte grise, immobilisation du véhicule, « prune » de 90 euros… et une situation qui commence franchement à virer au cauchemar. Il va falloir que je demande à ma femme de venir me chercher à plus de 250 km de chez moi… Nouvelles explications (je défends ma thèse, la circulation est possible avec le certificat italien) et, finalement, les gendarmes acceptent de me laisser repartir, mais sans carte grise, au risque de me faire pincer à nouveau par quelques-uns de leurs collègues zélés patrouillant entre Saint Dizier et ce joli département de l’Aisne qui commence à me manquer. Une condition pour récupérer ma carte grise italienne : faire riveter les plaques de transit à mon retour et faire constater leur conformité par les gendarmes du coin où j’habite. Je repars donc (la vie n’est plus un long fleuve tranquille), je m’arrête à une station pour faire le plein, et j’étudie la réaction des gens qui scrutent ma voiture sans plaques : non, ils ne vont tout de même pas faire exploser le standard de gendarmerie une nouvelle fois !!! Dans l’ensemble, les 250 km qu’il me restait à faire se sont bien passés. Une grosse sueur froide néanmoins à la sortie de Reims : à un rond point, 1 véhicule de gendarmerie + 2 motards contrôlaient la circulation. Mon premier réflexe à été de m’arrêter, pour tout leur expliquer mais, allez savoir pourquoi, j’ai continué : nos regards se sont croisés, ils ont regardé la voiture, mais pas les plaques !!! Incroyable. Il me restait 90 km à faire, j’étais sauvé. Je fus accueilli chez moi presque comme un héro, avec petits plats pour faire oublier les casse-croutes du week-end. Lundi 7 septembre Il faut reprendre le travail, heureusement, les cours devant élèves vont me changer les idées (je suis enseignant). Je passe les mots chaleureux des collègues (ton week-end s’est bien passé ? Alors, tu l’as ? ….), et déjà 18h00, avec une nouvelle mission à remplir : faire riveter les plaques puis aller à la gendarmerie pour faire constater la conformité du tout. Je rejoins un centre auto et là, consternation : refus de me poser les plaques, et pour cause, la voiture n’est pas encore française alors que les plaques posées en France portent toutes l’inscription F : c’est illégal. La solution : trouver des plaques sans F sur internet, ou contacter un magasin de tuning… et pendant tout ce temps, je continue à rouler sans plaque, pour en trouver… Chaque km parcouru devient un calvaire, je scrute chaque rond point, préparant déjà ma défense. Un nouvel éclair : et ce petit cordonnier qui fabrique aussi des clés et des plaques dans la galerie de ce supermarché situé à une dizaine de km, pourrait-il m’aider ? A priori non, car les plaques qu’il vend ont aussi le F. Et si on coupait le F ? Et voila comment je me suis retrouvé avec deux plaques tronçonnées que le centre auto d’à côté a accepté de me poser. Tu vois Laurent, tu tiens le bon bout, la chance finit toujours par tourner ! Revigoré et fier de passé inaperçu avec mes plaques rivetées, je me dirigeais vers la gendarmerie voisine, avec un peu d’appréhension tout de même, on ne sait jamais jusqu’où l’aventure peut mener (ramener un véhicule de l’étranger, c’est pourtant moins exotique que les aventures de Bond). Mais je suis tombé sur des gendarmes non seulement à l’écoute, mais éberlués de ce qui m’était arrivé. La veille, j’avais passé ma soirée à trouver sur le net les articles de loi validant mon retour d’Italie avec un certificat provisoire, et j’avais trouvé : décret de février 2009 stipulant que le certificat de transit est valable (il n’est pas précisé qu’il doit s’agir de plaques rivetées). Certes, ce décret est en contradiction avec le code de la route français, qui prévoit que tout véhicule doit être équipé de plaques ; or, les gendarmes de Saint Dizier se sont référés au code la route, pas au décret de 2009. A mon avis, il y a un flou juridique sur la question, c’est la raison pour laquelle je n’ai pas payé l’amende, d’autant que les gendarmes locaux m’ont démontré que le PV de leurs collègues n’était pas valable, en raison d’une case non renseignée ! J’ai écrit à l’officier du ministère public de la Meuse pour avoir son point de vue, j’attends sa réponse. Bref, les gendarmes de l’Aisne ont contacté ceux de Saint Dizier pour que ma carte grise soit rendue. Mais il a fallu insister, ces messieurs n’étant pas disposés à payer un timbre ! J’ai donc dû leur adresser un courrier recommandé contenant un autre recommandé payé à l’avance pour qu’ils y logent le précieux sézame. De qui se moque-t-on ? Mon récit s’achève ainsi. Certains me disent qu’acheter mon véhicule à l’étranger n’est pas raisonnable, et ce sont les mêmes qui vantent les mérites de la construction européenne ! Je ne regrette pas cette expérience, si ce n’est pour le problème de boite automatique, bien au contraire, elle démontre la lourdeur bureaucratique des administrations françaises et le manque de souplesse (et de bon sens) des agents qui y travaillent. Mon cas, s’il est un peu rocambolesque, n’est pas isolé, il traduit la résurgence d’un certain type de protectionnisme. Mais on se trompe de débat, me semble-t-il. Les quelques industriels français qui vivent encore du textile n’obtiennent rien de la France et de Bruxelles contre l’invasion de produits asiatiques, mais on empêche le Français d’aller acheter sa belle en Allemagne ou en Italie. Quel gaspillage d’énergie ! C’est pas comme çà qu’on va sortir de la crise… PESCAFAN
  3. Bonjour, j'espère que'on va réussir à solutionner nos problèmes de boite. Quand as-tu acheté ta Diva ? A qui ? Quel kilométrage a-t-elle ? Pour la plaque d'immat., c'est une histoire à dormir debout, je raconte mon périple dès que j'ai un moment sur le forum, peut-être ce soir. A+
  4. Un seul mot pour la Corvette : SUBLIME...
  5. Bonsoir, ta Corvette, ça doit être quelque chose ! C'est la GT que je préfère voir et entendre aux 24 heures du Mans (dans sa livrée jaune et noire), avec la Saleen S7R. Quel modèle possèdes-tu excatement ? A +
  6. Bon, la voiture a été diagnostiquée ce matin par un garage Fiat, mais leur valise est faite pour la version 20V manuelle. Il va falloir que j'approfondisse chez Alfa. En attendant, le mécano a trouvé un problème de capteur de freins et, selon lui, cela pourrait expliquer le mode dégradé (en freinant, le capteur envoie une mauvaise info. à la boîte qui se met en mode dégradé). Il me demande de rouler quelques temps et si le problème réapparaît, rediagnostic pour voir si le capteur fait encore des siennes). C'est vrai que c'est peut-être une broutille, je n'ai pas envie de m'en séparer, je commence seulement à y goûter, et je n'ai même pas encore l'immatriculation définitive. On verra bien. Je suis d'accord avec ce qui a été dit : en cas de problème grave, je pense qu'on peut se permettre de faire reprendre la voiture par un pro. Après tout, ils font une telle décôte et donc une telle marge en occasion qu'ils peuvent bien la consacrer à remettre le véhicule en état. Pour un particulier, c'est évidemment discutable et même malhonnête. A bientôt et au plaisir de vous lire. Dès que j'aurai un moment, j'insère quelques photos. PS : si vous avez une version sélective (exclusive en Italie), pouvez-vous me dire combien vous avez de hauts parleurs ? Sur ma 166, le son est excellent, mais rien ne sort des emplacements situés sur la plage arrière. Je ne sais même pas s'il y a des hauts parleurs.
  7. Bonsoir, oui, merci de m'avoir fait découvrir le forum, on y rencontre des gens sympas. Je reste en contact avec le garage italien, dans le pire des cas, je compte ramener la voiture. Ce soir, ma femme a essayé la voiture, elle l'a trouvé très facile à conduire même si le passage à une boite auto. surprend au départ. Quel dommage que le plaisir soit gâché par la peur que le problème recommence. Pour le reste, c'est génial : ligne sublime, moteur envoutant, superbe qualité du cuir, jantes 18 pouces à couper le souffle.... Je n'ai rien d'un frimeur, mais je ne suis pas insensible quand je vois les gens se retourner pour admirer la voiture. A +
  8. Bonsoir, elle bloque quand elle chauffe (2 fois dans les cols alpins en revenant d'Italie), mais pas systématiquement. C'est vrai que le 5 septembre, en revenant d'Italie, ça faisait drôle de se retrouver planté dans le grand Saint Bernard à 20 heures, sans âme qui vive (même pas un douanier), dans la brume et par 2°C !!! Heureusement que le problème a été (provisoirement) résolu après remise en marche du moteur. Je n'ai pas beaucoup roulé avec depuis mon retour, je suis en plaques de transit, et les gendarmes n'apprécient pas. Je dois acquérir un certificat de conformité avant l'immatriculation définitive. J'attends donc de rouler davantage pour savoir si le problème revient. A bientôt
  9. Bonsoir, la mienne n'a que 60 000 km, elle est comme neuve, rien n'indique qu'elle a été maltraitée. Mais je ne suis pas dans la boite.
  10. Bonjour med166, j'espère qu'en partageant nos expériences, on va finir par détecter le problème. J'ai trouvé un garage qui possède la valise permettant de faire un check-up de la voiture. Il est spécialisé Fiat-Alfa sans être dans le réseau. J'ai-rendez-vous vendredi, j'en saurai peut-être plus. Je te tiendrai au courant. Quel âge a ta belle ? et quel est son kilométrage ? Cordialement.
  11. Bonsoir, merci pour ta réponse. Oui, quand la vitesse est bloquée en mode AUTO et que je passe en mode sportronic, le TDB indique que je suis en 4. En me renseignant, on m'a dit que (peut-être), il fallait faire une vidange de boîte. Le blocage en 4 serait un mode dégradé, permettant tout de même de ramener la voiture au bercail. Je n'ai pas roulé depuis mon retour d'Italie, j'attends l'immatriculation définitive, les gendarmes m'ayant verbalisé en raison d'une immatriculation provisoire (transit) qu'il n'ont pas jugée légale : j'ai déposé "réclamation", d'autant que le PV a été incomplètement rempli (ce sont d'autres gendarmes qui m'ont alerté !!!). Au plaisir de te lire.
  12. Bonsoir, je suis tout nouveau sur le forum et j'ai déjà besoin de vos lumières. Je viens d'acheter ma belle en Italie (166 2.4 JTD Sportronic, 2005, 61 000 km) mais, à 4 ou 5 reprises lors de mon retour en France, la boite est restée bloquée en 4, avec voyant de boite allumé au tableau de bord (j'étais en mode auto, et en passant en mode séquentiel, pas moyen de rétrograder ou de passer la 5). Je me suis arrêté, ai coupé le moteur puis redémarré, le problème a disparu, jusqu'à ce que cela recommence (au total, 4 ou 5 fois en 800 km). Qu'en pensez-vous ? Je précise que le phénomène s'est plutôt produit alors que la route s'élevait (2 fois dans un col). J'ai bien une garantie en Italie (mais pas internationale), mais je me vois mal y retourner d'autant que, quand le voyant n'est pas allumé, je ne sais pas si on peut détecter la panne. Le garage italien me demande de faire un check-up chez Alfa en France, il avisera ensuite. Ce matin, j'ai donc appelé 3 garages Alfa pour "sentir" le plus compétent. Les réponses ont été misérables : ils ne connaisent pas le problème, mais sont tout disposés à me donner le prix d'une boite neuve ! L'un deux m'a même dit qu'ils ne touchaient pas à la boite, par compte pas de problème pour la changer !!! J'ai l'impression que je vais me heurter à un SAV déplorable. Où sont passés les vrais techniciens, passionnés par leur métier ? Quelqu'un parmi vous a-t-il déjà rencontré mon problème ? De quoi peut-il s'agir ? Merci pour vos témoignages.
  13. Bonsoir, je suis tout nouveau sur le forum et j'ai déjà besoin de vos lumières. Je viens d'acheter ma belle en Italie (166 2.4 JTD Sportronic, 2005, 61 000 km) mais, à 4 ou 5 reprises lors de mon retour en France, la boite est restée bloquée en 4, avec voyant de boite allumé au tableau de bord (j'étais en mode auto, et en passant en mode séquentiel, pas moyen de rétrograder ou de passer la 5). Je me suis arrêté, ai coupé le moteur puis redémarré, le problème a disparu, jusqu'à ce que cela recommence (au total, 4 ou 5 fois en 800 km). Qu'en pensez-vous ? Je précise que le phénomène s'est plutôt produit alors que la route s'élevait (2 fois dans un col). J'ai bien une garantie en Italie (mais pas internationale), mais je me vois mal y retourner d'autant que, quand le voyant n'est pas allumé, je ne sais pas si on peut détecter la panne. Le garage italien me demande de faire un check-up chez Alfa en France, il avisera ensuite. Ce matin, j'ai donc appelé 3 garages Alfa pour "sentir" le plus compétent. Les réponses ont été misérables : ils ne connaisent pas le problème, mais sont tout disposés à me donner le prix d'une boite neuve ! L'un deux m'a même dit qu'ils ne touchaient pas à la boite, par compte pas de problème pour la changer !!! J'ai l'impression que je vais me heurter à un SAV déplorable. Où sont passés les vrais techniciens, passionnés par leur métier ? Quelqu'un parmi vous a-t-il déjà rencontré mon problème ? De quoi peut-il s'agir ? Merci pour vos témoignages.
  14. Bonjour, après une Alfa 33 16V, une Alfa 155 2.5 TD (à vendre), me voici propriétaire depuis samedi d'une 166 2.4 JTD 175 sportronic. J'ai ramené ce véhicule d'Italie, le parcours a été truffé de péripéties que je raconterai plus tard (mieux qu'un roman !), et je vais avoir besoin de la communauté des Alfistes pour résoudre le 1er problème que je rencontre. Mon profil ? la quarantaine, prof. d'économie, passionné par la montagne, la photo et l'endurance (j'assiste aux 24 heures du Mans depuis 1995, d'où mon pseudo : PESCAFAN = fan du vieux mais sacrément efficace Pescarolo, même si sa Peugeot 908 a terminé dans le rail cette année). Je rêve du retour d'Alfa Romeo aux 24 heures, en catégorie GT, plus de 70 ans après la glorieuse époque : 4 victoires d'affilée en 1931, 1932, 1933 et 1934 !). Mon souci actuel : en rentrant d'Italie, la boite auto est restée bloquée en 4. Rien à faire, si ce n'est couper le moteur et redémarrer. Le problème, c'est que cette avarie s'est répétée 5 ou 6 fois en 700 km. Je crois savoir que d'autres alfistes ont rencontré ce problème. Merci de témoigner et de m'aider. Bien cordialement
×
×
  • Créer...