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Entre Alfa 75 et Alfa 33: laquelle choisir?


Doudou156

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Voilà, dès que le CT de ma 156 sera passé en début d'année, je vais certainement me mettre en quête d'une " ancienne", si je n'ai aucun frais a faire sur la 156

deux modèles me tente: la 75 et la 33....éventuellement une Alfetta si l'occasion se profile

les versions qui me tente sont:

- la 75 1.8 (mais peu d'infos sur ce modèle)

- la 75 2.0 TS

- la 33 1.3 carbu ou injection S1/S2/S3

- la 33.1.5 carbu ou injection S1/S2/S3

j'ai pas un budjet énorme ( 1000/1200 euros maxi)....

j'aurais souhaité des avis, des conseils sur ces modèles et aussi sur les motorisations

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Une 75 ts !!!! sans hesitation . bien plus agréable a rouler et le twin spark est increvable , propulsion et contrairement a beaucoup , c'est pour moi une tres belle voiture , pleine de caractere , bien plus qu'une 33.

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le budget risque d'être serré pour une 75 ts non ?? unsure.gif

par contre, des "33" ,tu vas en trouver ...

perso, quitte à prendre une "vieille" alfa dans le choix que tu nous donne, ce serait une "75"

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La 75 est plus rare du coup elle est plus chère. Les 33 sont plus facile à trouver même dans les casses si tu as besoin de pièces.

Mais perso je prendrais une 75 avec le 2l TS, c'est un super moteur que je connais bien pour l'avoir eu sur une 155.

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Hello

avez vous eu connaissance de cette annonce?

http://www.leboncoin...429.htm?ca=12_s

j'ai envoyé un mail au vendeur qui m'a répondu ceci:

"Concernant le controle technique,le dernier datant du 07/02/2006 defauts a corriger avec contre visite 0

Sans contre visite angles ripage av excessif.

Les deux pneus avant sont à changes "

qu'en pensez vous?

que puis je négocier?

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Tout d'abord faudrait que tu ai une idée de tes préférences de conduite : traction => 33 ou bien propulsion => 75

Ensuite faudrait voir la motorisation et la ligne aussi alors comme le choix d'une véhicule reste à mon sens un choix personnel cela me paraît inutile de te donner mon avis perso qui sera subjectif :smile:

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  • il y a 2 weeks...

Moi j'opterais pour une 75 sans hésiter! La dernière propulsion Alfa, un mythe!!!

Je trouve la 33 à 800 Euros vraiment cher pour ce que c'est... et sans CT...

La 75 rouge bien que plus kilométrée, me tenterait déjà plus. De plus avec CT ok et prix à discuter... Ca peut être pas mal.

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  • il y a 2 weeks...

merci pour vos liens, je cherche toujours:bigrir:

pour revenir a la 75, quelqu'un connait il la version 1.8 ie?

Modifié par Doudou156
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J'en ai eu 1 en version Indy ...........elle etait belle, mais je trouvais pas terrible le 1.8ie, et en plus il m'a fait des joints de queue de soupapes, bref cherche 1.6, voire 1.8 ou 2.0 en carbus, c'est du costaud !

Ou alors le 2.0 TS.........valeurs sures !

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Ah là là, quel dilemme, choisir entre les deux modèles qui ont précipité Alfa au fond du gouffre...

J'ai eu il y a longtemps quelques 75 V6, une ( peut-être deux, je sais plus ) saloperie de turbale et, plus récemment, une 33 Trofeo ( 1300 injection donc ).

Malgré tous mes à priori, ces autos ne sont finalement pas si éloignées que ça. Commençons par la 33, son boxer est un bohneur, rond à défaut d'être rempli, coupleux et d'une sonorité très agréable. J'avais acheté cette auto pour assurer mes déplacements parisiens quotidiens en complément de feue ma Pontiac bien mal à l'aise en ville. Mettons de côté mes soucis chroniques de fiabilité que je dois à un précédent propriétaire peu méticuleux; cette auto jouissant d'une réputation de fiabilité justifiée, il n'est en effet pas rare d'en croiser affichant 300 voir 400000kms!!!!!

Sa légèreté et son chassis équilibré à défaut d'être efficace en font un petit jouet très nerveux, on a l'impression de mener une 205 GTI, la place, le charisme et le "chien" en plus. Certes, la commande de BV n'a rien à envier à celle d'une 75, les freins ( devrais-je dire, ralentisseurs ) nous rappellent nos frayeurs de jeunesse sur des mobylettes kittées et la direction s'avère aussi précise que le gouvernail d'un pétrolier... Pas de doute, cette Alfa vient bien du Sud!

Mais par contre, une fois ce petit volant trois branches en main, ce pédalier qui tombe "là où il faut" et qui autorise l'indispensable talon-pointe inhérent aux verrouillages dramatiques de la boîte, ses petites fesses bien calées dans des sièges bien conçus et ce bloc compteur cohérent et bien renseigné; à ce moment, on oublie tout. Certes, cette auto ne déchaîne pas la passion, mais elle représente à mon sens, une façon originale et surtout raisonnable d'assumer sa fibre Alfiste au quotidien, sans contrainte. L'auto est super bien suspendue, confortable, ultra compacte et... précision accessoire sur une Alfa mais qui peut faire pencher la balance, la conso s'avère ridicule, environ 7 à 8L GRAND MAXI en utilisation 100% urbaine. Je faisais entre 700 et 800 kms avec un plein de 50L.

Le budget d'utilisation est très bas car peu d'usure des trains roulants ( auto légère ), pièces d'usure presque toutes encore dispo chez Alfa, mécanique accessible ( une distrib' se change en une heure ), électricité fiable, conso ridicule, consommation d'huile raisonnable...

Mais tout cela nous ramène à la 75... V6. Quel joie, quel bonheur que de démarrer ce monument chaque matin et chaque soir pendant plus d'un an et près de 50000kms!!! On ne prend plus la route par nécessité... on quitte le boulot et le lit par obligation, l'appel du V6 transalpin. Les vocalises du 12 soupapes sont sans égal. Rauque voir caverneux à bas régime, glougloutant à mi charge et hurlant dans les tours, c'est juste magique. Avec 80% du couple maxi dispo dès 1000tr/min, ça se conduit sur un filet de gaz en 5ème ( pourtant longue ) en ville, on se prend souvent à cruiser sous le régime de ralenti, parfois à 500 tr/min, sans s'en apercevoir, le moteur ne bronche pas, il n'est pas nécessaire d'appliquer plus qu'un orteil sur l'accélérateur pour s'en sortir... Inimitable. Démarrer ce V6 au matin et l'entendre tourner sur 4 ou 5 cylindres seulement, attendre un quart d'heure que la pression d'huile chute enfin, sentir la 6ème patte partir et le premier rapport prêt à s'engager presque sans effort ( en passant par la seconde quand même ); tout ça me manque.

Et une fois lancé, c'est encore mieux, un vrai anti-dépresseur, la boîte au guidage aussi désastreux que sa synchronisation devient un jeu, ce pédalier décalé à droite et cette position de conduite imposée si... Alfa ( jambes tendues, bassin décalé à droite et coudes le long du ventre ), ces accessoires qui ne fonctionnent jamais, ce tableau de bord fantaisiste, ces bruits bizarres, ce liquide de refroidissement dont la température joue au yoyo, ce chassis si archaïque...

Sortir d'un rond point et s'engager sur une ligne droite gras mouillée, sentir le train AV se dérober et vous emmener vers le terre-plein central, lever le pied et alors sentir le train AR décrocher en douceur, remettre les gazs et sentir ce même train AR volage "mordre" le bitume de toute la force de son auto-bloquant et se remettre en ligne en talonnant gentillement, vous rappelant que vous ne conduisez pas une voiture, mais une Alfa héritière d'un autre age...

Oups, nous n'étions qu'à 50 km/h en 3ème et une Golf Turbo-Diesel injection directe de jeune cadre dynamique vous a fait l'extérieur sans effort tandis que vous vous battiez avec votre machine... Comment il fait ce con avec sa voiture moderne?

Qu'importe, les virages sont enfin derrière et vous pouvez ( en regardant le cul de la Golf partir ) débrayer, encquiller le point mort, embrayer, relancer le moteur, redébrayer et verrouiller le second rapport ( si la chance est de votre côté ); vous changez là de décor, tout s'accélère, une mélodie envahit l'habitacle, l'auto s'écrase, la Golf est déjà derrière, il faut passer la 3, on est déjà à 5500 tr/min, le V6 s'essoufle, mais merde, il faut freiner; la pédale est molle, spongieuse, 'tain, la roue AVD bloque, le rond-point est là, ça rentre quand même, le train Ar semble léger, il vous aide, enroule tranquillement, remettre du gaz le remet immédiatement en ligne, et c'est reparti. La Golf est revenue, mais elle n'ose plus doubler, elle a peur, ne s'amuse pas de tant de facilité... tandis que vous jubilez une nouvelle fois d'avoir failli vous tuer à une vitesse qui fait rire une... 33.

C'est ça la 75, une expérience unique chaque jour, une âme, un caractère, une... addiction.

Alors, même si on ne trouve quasiment plus de pièces, que ça vieillit mal, que c'est casse gueule, carrément pas adapté au trafic moderne et que ce serait à refaire, ce serait sans hésiter, en V6 ou en 2.OL carbus ( la TS est trop fiable et linéaire, pas drôle et pas assez... Alfa :aro_mdr: ).

A toi de voir, mais il faut non seulement essayer, mais aussi vivre avec l'une ou l'autre pour faire ton choix.

Je ne parle pas vraiment des défauts de la 75, ils s'oublient vite au volant ( finition honteuse, ergonomie d'un autre monde, fiabilité problématique, coût d'entretien pharaonique pour cause de pièces d'usure à changer très souvent et hors de prix ).

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chouette compte rendu

merci Coyote

mais problème: ma 156 diesel n'a pas passé le CT pour cause de pollution ( grrr....p***** de diesel!!!!!!!!!)

je vais donc devoir remettre ça a plus tard, pas trop tard j'espère

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hé hé hé

juste 1 défaut

opacité des fumées d'échappement excessives

pour me rassurer, le mécano alfa m'a dit que ça pouvait être soit un injecteur , soit le débitmètre, soit une durite

bizarrement, il ne m'a pas parlé de décrassage de la vanne egr............

elle serait peut être passée nickel si j'avais eu l'idée de faire la vidange/révision avant, incluant le remplacement entre autre des filtres air/huile/gazoil

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  • il y a 1 mois...

Ah là là, quel dilemme, choisir entre les deux modèles qui ont précipité Alfa au fond du gouffre...

J'ai eu il y a longtemps quelques 75 V6, une ( peut-être deux, je sais plus ) saloperie de turbale et, plus récemment, une 33 Trofeo ( 1300 injection donc ).

Malgré tous mes à priori, ces autos ne sont finalement pas si éloignées que ça. Commençons par la 33, son boxer est un bohneur, rond à défaut d'être rempli, coupleux et d'une sonorité très agréable. J'avais acheté cette auto pour assurer mes déplacements parisiens quotidiens en complément de feue ma Pontiac bien mal à l'aise en ville. Mettons de côté mes soucis chroniques de fiabilité que je dois à un précédent propriétaire peu méticuleux; cette auto jouissant d'une réputation de fiabilité justifiée, il n'est en effet pas rare d'en croiser affichant 300 voir 400000kms!!!!!

Sa légèreté et son chassis équilibré à défaut d'être efficace en font un petit jouet très nerveux, on a l'impression de mener une 205 GTI, la place, le charisme et le "chien" en plus. Certes, la commande de BV n'a rien à envier à celle d'une 75, les freins ( devrais-je dire, ralentisseurs ) nous rappellent nos frayeurs de jeunesse sur des mobylettes kittées et la direction s'avère aussi précise que le gouvernail d'un pétrolier... Pas de doute, cette Alfa vient bien du Sud!

Mais par contre, une fois ce petit volant trois branches en main, ce pédalier qui tombe "là où il faut" et qui autorise l'indispensable talon-pointe inhérent aux verrouillages dramatiques de la boîte, ses petites fesses bien calées dans des sièges bien conçus et ce bloc compteur cohérent et bien renseigné; à ce moment, on oublie tout. Certes, cette auto ne déchaîne pas la passion, mais elle représente à mon sens, une façon originale et surtout raisonnable d'assumer sa fibre Alfiste au quotidien, sans contrainte. L'auto est super bien suspendue, confortable, ultra compacte et... précision accessoire sur une Alfa mais qui peut faire pencher la balance, la conso s'avère ridicule, environ 7 à 8L GRAND MAXI en utilisation 100% urbaine. Je faisais entre 700 et 800 kms avec un plein de 50L.

Le budget d'utilisation est très bas car peu d'usure des trains roulants ( auto légère ), pièces d'usure presque toutes encore dispo chez Alfa, mécanique accessible ( une distrib' se change en une heure ), électricité fiable, conso ridicule, consommation d'huile raisonnable...

Mais tout cela nous ramène à la 75... V6. Quel joie, quel bonheur que de démarrer ce monument chaque matin et chaque soir pendant plus d'un an et près de 50000kms!!! On ne prend plus la route par nécessité... on quitte le boulot et le lit par obligation, l'appel du V6 transalpin. Les vocalises du 12 soupapes sont sans égal. Rauque voir caverneux à bas régime, glougloutant à mi charge et hurlant dans les tours, c'est juste magique. Avec 80% du couple maxi dispo dès 1000tr/min, ça se conduit sur un filet de gaz en 5ème ( pourtant longue ) en ville, on se prend souvent à cruiser sous le régime de ralenti, parfois à 500 tr/min, sans s'en apercevoir, le moteur ne bronche pas, il n'est pas nécessaire d'appliquer plus qu'un orteil sur l'accélérateur pour s'en sortir... Inimitable. Démarrer ce V6 au matin et l'entendre tourner sur 4 ou 5 cylindres seulement, attendre un quart d'heure que la pression d'huile chute enfin, sentir la 6ème patte partir et le premier rapport prêt à s'engager presque sans effort ( en passant par la seconde quand même ); tout ça me manque.

Et une fois lancé, c'est encore mieux, un vrai anti-dépresseur, la boîte au guidage aussi désastreux que sa synchronisation devient un jeu, ce pédalier décalé à droite et cette position de conduite imposée si... Alfa ( jambes tendues, bassin décalé à droite et coudes le long du ventre ), ces accessoires qui ne fonctionnent jamais, ce tableau de bord fantaisiste, ces bruits bizarres, ce liquide de refroidissement dont la température joue au yoyo, ce chassis si archaïque...

Sortir d'un rond point et s'engager sur une ligne droite gras mouillée, sentir le train AV se dérober et vous emmener vers le terre-plein central, lever le pied et alors sentir le train AR décrocher en douceur, remettre les gazs et sentir ce même train AR volage "mordre" le bitume de toute la force de son auto-bloquant et se remettre en ligne en talonnant gentillement, vous rappelant que vous ne conduisez pas une voiture, mais une Alfa héritière d'un autre age...

Oups, nous n'étions qu'à 50 km/h en 3ème et une Golf Turbo-Diesel injection directe de jeune cadre dynamique vous a fait l'extérieur sans effort tandis que vous vous battiez avec votre machine... Comment il fait ce con avec sa voiture moderne?

Qu'importe, les virages sont enfin derrière et vous pouvez ( en regardant le cul de la Golf partir ) débrayer, encquiller le point mort, embrayer, relancer le moteur, redébrayer et verrouiller le second rapport ( si la chance est de votre côté ); vous changez là de décor, tout s'accélère, une mélodie envahit l'habitacle, l'auto s'écrase, la Golf est déjà derrière, il faut passer la 3, on est déjà à 5500 tr/min, le V6 s'essoufle, mais merde, il faut freiner; la pédale est molle, spongieuse, 'tain, la roue AVD bloque, le rond-point est là, ça rentre quand même, le train Ar semble léger, il vous aide, enroule tranquillement, remettre du gaz le remet immédiatement en ligne, et c'est reparti. La Golf est revenue, mais elle n'ose plus doubler, elle a peur, ne s'amuse pas de tant de facilité... tandis que vous jubilez une nouvelle fois d'avoir failli vous tuer à une vitesse qui fait rire une... 33.

C'est ça la 75, une expérience unique chaque jour, une âme, un caractère, une... addiction.

Alors, même si on ne trouve quasiment plus de pièces, que ça vieillit mal, que c'est casse gueule, carrément pas adapté au trafic moderne et que ce serait à refaire, ce serait sans hésiter, en V6 ou en 2.OL carbus ( la TS est trop fiable et linéaire, pas drôle et pas assez... Alfa :aro_mdr: ).

A toi de voir, mais il faut non seulement essayer, mais aussi vivre avec l'une ou l'autre pour faire ton choix.

Je ne parle pas vraiment des défauts de la 75, ils s'oublient vite au volant ( finition honteuse, ergonomie d'un autre monde, fiabilité problématique, coût d'entretien pharaonique pour cause de pièces d'usure à changer très souvent et hors de prix ).

Et ben tu es journaliste chez Retroviseur ? C'est emouvant ton compte-rendu, ca fait ressentir la passion jusque dans les trippes ! Un grand bravo.

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:angry: Ah non , la , je v finir par me facher

Meme si je dois avouer qu'il faut avoir un certain bagage en mecanique pour pouvoir profiter pleinement de la bete tim

GROS bagage en mecanique et budget consequent... ceux qui tentent d'acheter des voitures de collection avec un petit budget et sans competences techniques me font presque pitie'... car on voit des le debut comment ca va se terminer....

Donc je prefere ceux qui sagement continuent a' chercher la perle rare.

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