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AtommyK

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Tout ce qui a été posté par AtommyK

  1. Yes, mythique, cette moto. Quant à @vdue, ni l'un, ni l'autre. Nos titres respectifs ne sont pas franchement concurrents, mais nous ne travaillons (surtout...) pas pour la même boîte. Disons que : - Pour les enfants, il y a M&M ; - Pour les hommes, il y a SB ; - Pour les vieux, il y a MR. Hein, @vdue ?! Ça va, j'déconne ! Et puis non, désolé de décevoir, mais rien à voir côté capillaire. Je suis pas une belle blonde, moi.
  2. Hello ! C'est vrai que ces grilles soulignent bien les... lignes. Mais ça fait un peu cher en effet. Je me tâtais à peindre le scudetto en noir (avec de la peinture pelable) pour affirmer un peu la face avant, mais j'ai peur que ça fasse kéké tuning. Sinon, la MT-01 propose un moteur très sympa, mais son châssis n'est pas très vif et il n'y a aucune garde au sol. Je dois avoir une photo d'un essai où je grave carrément le bitume avec le repose-pied... C'est une top moto pour se balader tranquillement.
  3. Comme promis, je poursuis avec les bécanes, ma passion première ! Bon, je passe rapidement sur les Malaguti 50 RCX Grizzly 86, Yamaha 80 YZ 95, 125 YZ 94 (je faisais un peu de motocross en club dans mon très jeune temps) puis 125 TZR 96 (achetée en épave, restaurée comme neuve et revendue illico-presto après un aller/retour dans mon impasse tellement ça ramait à l'envers), tout simplement parce que je n'en ai pas de photos. On commence donc avec ma première machine de route : une Yamaha 240 TDR de 88, achetée en 98. Un vrai truc de connaisseur ; une espèce de sportive avec un châssis de trail, puisque son cadre double berceau pas franchement rigide recevait le bicylindre en ligne 2-temps de la sportive TZR, pas bien puissant (44 ch), mais ô combien vivant et b**dant en terme de sonorité. En fait, je suis parti de deux épaves... La première était roulante mais sans CG et désossée pour un usage "piste" (j'ai fait le championnat de France de la montagne 98 à son guidon, contre des Yamaha TZ et Honda RS 250 compétition client de 80 ch : c'était rude ! ). La seconde, complète et avec CG, avait un moteur cassé (ça pétait comme du verre si on en prenait pas soin, ces p'tites bêtes là, d'où une réputation "à la Alfa Romeo"...) plus un gros lot de pièces (dont deux moteurs prêts à rendre l'âme eux aussi). En mixant tout ça, je m'en fais une moto de route hyper fun pour aller à la fac, 100% légale en jeune permis, avec un carénage polyester décoré par un pote peintre d'après mes croquis (j'ai pas froid aux yeux à l'époque, lol) et percé de deux lenticulaires qui éblouissent tout le monde mais n'éclairent strictement rien : Je suis plus souvent en train de changer les bougies ou de démonter les échappements pour vérifier les pistons que de rouler ; je fais peur aux filles de la fac de lettre avec mes vêtements imprégnés à l'huile de synthèse 2-temps, mais je l'adore, cette bécane. Vous verrez tout à l'heure à quel point. En 2002, j'ai 21 ans : je veux un gros cube, un truc qui dessoude n'importe quelle Porsche quand le feu passe au vert, un truc d'homme. Je me fais péter celle qui est alors la moto de mes rêves : une Kawasaki ZX-7R de 1998, elle aussi épave, mais avec CG récupérable. Je la remonte toute propre, récupère les papiers après expertise et je me régale avec ce 4-cylindres en ligne de 120 ch environ, enserré dans un châssis certes physique dans les petits coins, mais indéboulonnable dans les grandes courbes rapides : En 2004, ça fait un an que je bosse dans la presse moto : je découvre au salon de Milan la Triumph Speed Triple 1050. J'ai toujours lorgné sur les Triumph et leurs 3-cylindres. Je craque et la commande. C'est juste dans ce moment de transition entre la revente de la Kawa et la réception de la Triumph que… je me fais chourer la ZX-7R. Elle était garée dans mon garage en sous-sol, derrière ma 147, dont le voleur allait délicatement dégonfler deux pneus pour être sûr que je ne le prenne pas en chasse. Classe ! Je suis évidemment mal assuré, je n'ai que mes yeux pour pleurer. Mais ça m'apprend la vie. Et je me console très vite avec la Speed et son gros 3-pattes velu, une bête à wheelings (involontaires, car je sais pas trop faire à l'époque) : 2006 : je quitte Orléans et le Loiret pour les Alpes Maritimes et le village historique de Mougins (tout près de Cannes). Je vends la Speed avant le démanagement. Le Supermotard m'a toujours titillé. Et si le 45 manquait cruellement de virages, le 06 est un peu le terrain de jeu parfait pour ce type de machine. A cette époque, je bosse au sein de la rédaction de Moto & Motards (Sport-Bikes, titre dont je suis rédac chef aujourd'hui, appartient alors à la même boîte) et mon pote Droonic, essayeur chez M&M, vient de se faire péter une Suzuki 400 DRZ-SM jaune. Un poumon super marrant. Crac : j'achète la même, en noir. Et on les équipe un peu. Entre bourres, balades, apprentissage du stunt, journées mécaniques, nos DRZ nous régalent. C'est probablement la moto la moins puissante que j'ai possédé, et pourtant, c'est celle avec laquelle je me suis le plus amusé. Tout le temps en wheeling, stoppie, glisse… Du grand n'importe quoi. Le #34 était indispensable (d'autant que j'ai eu l'occasion de partager la piste avec le grand Kevin Schwantz, idole de mon enfance, quelques mois plus tôt) : Et ici, avant d'aller changer nos pneus avec ledit Droonic. Quand je vous dis que c'était n'imp'… : Fin 2007, Triumph présente celle que l'on attendait tous à la rédaction : la Street Triple, roadster sur base de Daytona 675. Will, rédac chef de M&M, revient de l'essai presse enchanté. On échange un regard avec Droonic : c'est parti, on vend les DRZ et on en commande chacun une. Lui en noir, moi en blanc : Je serai la première personne en France à posséder cette fameuse Street. Un moulin extraordinaire, un châssis sympa (même si les suspensions, dans cette version standard, laissent à désirer), du caractère à revendre pour un prix raisonnable : cette moto va avoir beaucoup de succès ! Mais… Très peu de temps après, je quitte la rédac et monte ma petite entreprise, puis j'apprends que je vais être papa. Ça fait beaucoup. Il me faut des liquidités pour me lancer, je ne suis pas assez raisonnable sur la route et je veux voir grandir ma fille. Je la vends en mars 2008 et j'entame une diète du 2-roues. Eté 2009 : j'ai un peu de sous de côté, le souvenir du TDR me hante. Bingo, j'en trouve un en état correct, un poil modifié avec des jantes en 17'' et des pots de détente en position basse. Je l'achète et je roule un peu avec. D'abord, tranquillement (c'était le but de ce choix : une vielle brêle qui va pas trop vite histoire de rester raisonnable). Mais rapidement, je me régale à déposer les kékés en Yamaha R1 sur les petites routes de l'arrière pays niçois au guidon de cette mobylette. On ne se refait pas… L'année suivante, on décide de remonter dans le Loiret pour se rapprocher de la famille. Le TDR remonte avec nous. Je l'envoie en réfection complète chez un ami mécanicien moto. En attendant qu'il soit prêt (ça va prendre un an), je me prends une Kawasaki Versys 650 : j'avais flashé sur cette moto lors de la présentation presse de la première version avec Will. Ultra-moche, mais un outil pour rouler longtemps… et pour faire le c**. Non, vraiment, on ne se refait pas : 2011 : je revends la Versys et je récupère mon TDR comme neuf. Mon pote d'ASD Racing me fait un kit déco sur mesure à coller sur la belle peinture neuve. Elle a trouvé une deuxième jeunesse, avec un paquet de pièces qui vont bien, dont ces pots Jim Lomas qui sonnent comme une 250 de GP : Trois ans plus tard, je suis sage et je prends grand soin du TDR, qui roule peu. Je la trouve laide, mais c'est un jouet : je ne peux résister à l'appel de la Yamaha MT-09, avec son 3-cylindres 850cc encore plus abouti que ceux de Triumph (tout aussi coupleux en bas mais bien plus rageur en haut). Mon pote d'ASD m'aide à l'embellir un peu, je lui installe tout un tas de pièces, dont des suspensions qui vont bien : Une arme, ultra-légère et fun. Mais depuis 2012, j'ai deux enfants… Et décidément, même en prenant de l'âge, j'ai du mal à rester cool sur deux roues. C'est pourquoi je revends tout, d'abord le TDR, puis la MT-09. Il faut dire que, grâce à mon boulot, j'ai en parallèle la chance d'essayer des machines de folie sur circuit. Un partenariat avec une top école de pilotage me permet également de faire de la piste à peu près quand je veux sur une Ducati Panigale de prêt : La pratique du circuit à moto procure des sensations réellement extraordinaires. On pilote avec son corps entier, tout va très vite, il n'y a pas de radars et c'est beaucoup moins dangereux que la route. Pour retrouver les mêmes sensations sur la route, il faut se mettre en danger de mort ; pour retrouver les mêmes sensations en auto, je pense qu'il faut une monoplace ou une WRC (même si je me suis bien amusé derrière les volants de Catheram Superseven et Lamborghini Gallardo et qu'il me reste énormément à apprendre en pilotage auto comme moto). Du coup, même si j'ai bien aimé la Yamaha MT-10 ou la KTM SuperDuke 1290 R, je pense que je vais maintenant me "contenter" de voitures sympas pour la route (la GT V6 l'est assurément !) et réserver la moto à un usage sur circuit. A moins que… Encore un truc, et pas des moindres : courant 2016, je teste, toujours pour le boulot (et sur circuit bien entendu, au Lausitzring pour être précis), deux outils de folie. D'abord, la Suter BMW CRT MotoGP 2012 (ex-Petrucci, avec son 4-cylindres S1000RR en configuration World Superbike), 220 ch environ pour 160 kg à sec : Ensuite et surtout, la Suter MMX 500, un V4 2-temps 576cc de 190 ch pour 127 kg à sec inspiré des GP500 de la grande époque, mais avec toute la technologie moderne (dont l'injection) : Cette moto revenait tout juste du Tourist Trophy de l'Ile de Man, dont elle était encore bardée des moustiques, comme vous le verrez sur cette vidéo : Avant essai, cette dernière était pour moi la moto ultime, celle de mes rêves les plus fous. Mon immense problème, c'est que depuis que je l'ai essayée, toutes, absolument toutes les motos me semblent fades. Et à 110.000 € HT hors option, elle restera, même après essai, un rêve. Je sais, c'est vraiment pas de chance…
  4. Autant je ne trouve pas ces jantes fabuleuses sur la GT, autant elles magnifient la GTV. Superbe !
  5. Merci @AlfaDZ ! @@rnaud : qu'entends-tu par "grilles de calandre chromées" ? Et ça se trouve où ? Quant à la moto : joker, j'en ai plus en ce moment... Mais la dernière en date était une Yam MT-09 un poil préparée.
  6. Yes, j'ai regardé la fin de la deuxième vidéo : ça commence à bien envoyer, les trajectoires sont plus tendues tout en restant propres. Belle progression en effet ! Le ring, je l'ai fait au volant d'un bolide incroyable... ... une Laguna diesel de loc d'au moins 120 ch. J'étais au Nurb pour le boulot, sur le round allemand du Mondial Superbike (disputé sur le circuit F1). Du coup, je me suis dit que c'était trop bête de ne pas tester. J'ai passé mon temps à surveiller mes rétros, et à la moitié du tour, j'avais l'impression de rouler sur le flanc des pneus tant ils étaient bouillants et je n'avais plus de freins... Pas beaucoup de plaisir de conduite (ça déboule trop de partout et c'est dangereux avec une voiture lambda : il y a des bus, des motos, des fourgons, des caisses de course, c'est un peu n'imp'), mais le plaisir de rouler dans l'enfer vert et une bonne partie de rigolade avec le frangin (surtout quand on a rendu la Laguna à l'agence : "Tout s'est bien passé monsieur ?" ). Avec la GTA, ça va être cool !
  7. 1'30 en GTA, va carrément falloir couper un morceau du circuit... Belle vidéo, ça enroule propre. Le Busso chante haut... mdr Un truc à essayer le prochain coup : à moto, dans le fer à cheval, on retarde le point de corde complètement à la sortie. Comme ça, tu es à gauche de la piste et tu "ouvres" le droite suivant : ça te permet de passer plus fort et d'aborder la descente avec plus d'élan. Ça fait vite beaucoup de temps sur tout le secteur. Après, le chrono, c'est une chose, mais l'essentiel, c'est de se régaler !
  8. Oui, c'est bien pourquoi j'ai parlé d'un "amateur pas trop empoté". C'est ce que l'on appelle une litote. Je connais "un peu" aussi le petit monde de la course moto. Promosport 250, ça fait un moment que ça n'existe plus, ça, dis donc...
  9. Hey, hello Sir Vdue ! Faut que je fasse un saut sur ton showroom, voir où tu en es avec tes belles à quatre roues... Je t'avoue que je vois pas trop ce que donne 1'49 sur 4 roues, et encore moins avec une 147 GTA... Le record à moto (France Superbike 1000cc) est en 1'22 quelque chose si je ne m'abuse. Un amateur pas trop empoté tourne en 1'30. Hâte de voir tes vidéos !
  10. Hello, Perso, ça me semble très honnête si elle est vraiment en bon état et bien entretenue. Même un peu trop beau pour être vrai... Selespeed ou pas ? Ça joue pas mal sur les prix, la fiabilité du robot n'est semble-t-il pas légendaire... Perso, je voulais une 147 GTA... et j'ai opté pour une GT V6, qui n'a pas encore pris trop de valeur (pour la mienne : 2005, très propre, 63.000 km, carnet d'entretien complet depuis la mise en route, 11.700 € hors CG en octobre 2016). Regarde aussi du côté de la Suisse (c'est de la que vient la mienne, importée et dédouanée par un pro) : il y a eu pas mal de Busso immatriculées et [mode généralité on] les Suisses sont souvent très soigneux avec la mécanique [mode généralité off]. Il faut juste bien vérifier l'absence de rouille (pas un pet sur la mienne), car les routes sont rudes par là-bas l'hiver. @ + !
  11. Bon, je vais pas me fader les 43 pages maintenant, mais tu as une sacrément jolie 147, bravo... Dans le petit monde de la moto, on a coutume de dire que si on est vite à Lédenon, on est vite sur tous les circuits de France. Le triple gauche, le gauche avant le fer à cheval, la descente fond de balle vers la cuvette, tous ces virages à l'aveugle... Si t'as pas un haut le coeur à chaque déclenchement de virage, c'est que tu es à l'arrêt ! Et en plus, quand tu t'arrêtes, le paysage environnant est superbe, tout en haut de cette colline. J'ai passé un sacré paquet d'heures sur ce circuit, en piste comme dans les voies de sécurité. @ + !
  12. Merci à tous pour cet accueil très sympa. Oui, cette auto mérite en tout cas d'être apprécié, c'est une certitude ! Donc, j'ai acheté la GT chaussée de jantes GTA 17'' (5 trous), puis j'ai chiné les jantes à bâtons équipées de pneus neige à un possesseur de 147 GTA. Mais ces dernières sont dans un triste état, il va falloir que je fasse quelque chose... La Cooper S, j'avais testé à l'époque où je bossais pour un magazine pluridisciplinaire (auto, moto, bateau... bref, tout ce qui avait un moteur et qui pulsait un minimum !) : j'avais beaucoup aimé, une sorte de kart civilisé ! Ouep, c'est vrai qu'il y a de quoi devenir dépendant. Le nombre de fois où j'ai rallongé mes trajets initiaux depuis que je l'ai... J'en ai eu quelques unes, oui... Je vous fais le topo prochainement, promis ! C'est vrai que cette auto offre un excellent rapport plaisir/praticité. Ces QV, je les avais installés sur ma Giulietta, mais je trouvais que c'était un poil too much sur un 1.4 MA. J'assumais pas... Je les avais donc décollés et conservés au cas où... avant de tenter le coup sur la GT. La, ça le faisait très bien et j'assumais, mais la colle, elle, ne tenait plus très bien et les pointes jouaient les filles de l'air, ça faisait un peu cochonesque... Je pense en reprendre des neufs, blancs ou couleur alu, sur Alfisti. @ + !
  13. Hello à tous, Après avoir entièrement revu ma présentation (à lire sur le premier post de la première page), j'ouvre (enfin) mon showroom. On commence avec ma première auto perso : une 147 JTD 105 Impression de 2004, achetée en avril de la même année : Avant elle, je conduisais la vaillante 205 GLD appartenant à celle qui allait devenir la mère de mes enfants... Autant vous dire que ça nous a beaucoup changés, à l'époque ! :) Les jantes alu choisies par l'ancien proprio étaient atroces, on est d'accord, mais c'était une "occasion neuve" (4.000 km) affichée à un tarif incroyablement bas : on a pas fait les difficiles ! On l'adorait ; on l'a gardée plus de trois ans et on a fait plus de 80.000 km avec. Après la 147 et pour préparer l'arrivée de ma première fille, je succombe à la mode du monospace... Oui, je sais, c'est c**. Surtout qu'Alfa n'en produit (toujours, ouf) pas. N'empêche, je vais beaucoup l'apprécier, ma Seat Altea TDI 140 de 2004, avec sa boîte DSG et son pack Sport Up : Ça marche bien et le châssis est sympa. Mais je ne vais pas m'étendre : j'en vois déjà certains dont les visages se garnissent de boutons... :) Six ans (!) et 240.000 km plus tard (je roule beaucoup à l'époque pour faire tourner ma petite entreprise), je la revends et me décide à reprendre une Alfa. J'ai changé de boulot, je roule moins, j'ai toujours trouvé (et je trouve toujours en 2017) la 159 TI splendide... Je la voulais en V6 ou en 1750 TBI. Mais ces moteurs sont introuvables en TI et je suis assez pressé. Je jette donc mon dévolu sur cette superbe 1.9 JTD 150 ch de 2009 : Magnifique, confortable, suffisamment pratique pour mes deux filles (ben oui, la deuxième est arrivée fin 2012 !)... mais ce moteur est vraiment trop mou pour ce gabarit. N'étant pas un adepte des reprog', je préfère la revendre fin 2013 et patienter un peu : là, je n'ai quasiment plus besoin de voiture. Je me fais plaisir sur la moto… La Fiat 500 de Madame suffit bien pour le quotidien, je me déplace surtout en train, avion ou voiture de loc pour le boulot. On va même partir deux fois en vacances (légers, j'avoue) tous les quatre dans la 500 : la tronche des gens sur les aires d'autoroute vaut alors son pesant de cacahuètes ! :) Eté 2015 : bim, je craque pour une Giulietta 1.4 Multiair 170 ch pack sport de 2012 en boîte TCT, avec ces jantes "aéro" superbes mais passablement frottées par son ancien propriétaire : Du coup, je change les jantes pour des répliques de TI en 18" : Belle, équilibrée, dotée d'un moteur réellement surprenant parfaitement conjugué à cette excellente boîte double embrayage, je l'adore... Mais, mais, mais... Automne 2016 : je roule vraiment peu (moins de 20.000 km par an). L'essence, c'est vraiment sympa. J'ai envie d'un truc qui pulse pour de bon. La 147 GTA me faisait rêver quand j'ai acheté ma 147 JTD. Ça n'a pas changé. J'aurais maintenant les moyens de l'entretenir. Mais sous la barre des 12 000 € (budget que je ne souhaite pas dépasser pour l'achat), ça sent très fort la merguez. La 156 GTA me plaît moyennement : ses lignes ont, pour moi, moins bien vieillies que la 147, même si elle sera plus pratique au quotidien. Je ne regarde même pas les annonces. La GT ? J'en avais essayé une, en V6, en 2006. J'avais adoré sa ligne. J'avais adoré son moteur. Son comportement routier m'avait laissé songeur, avec un train avant complètement dépassé par la cavalerie dès que le bitume devenait inégale. Quand même, je regarde les annonces ; je constate que les tarifs, pour un exemplaire soigné, correspondent à mon budget ; je lis que, chaussée en 17'', la GT se comporte bien mieux qu'en 18'' (dimension dont était doté le modèle essayé) ; qu'elle se révèle une bonne familiale pour un coupé, avec un coffre aux dimensions généreuses pour sa catégorie… Et là, je tombe sur l'annonce sur laquelle il ne fallait pas que je tombe… Modèle suisse importé et dédouané par un pro, 63.000 km, super propre, carnet d'entretien complet, 11.900 €. J'appelle (je suis alors sur un Grand Prix en Espagne). Le courant passe bien avec le vendeur (motard…). Je lui pose 12.000 questions, auxquelles il répond avec plaisir ; il accepte de me la mettre de côté pendant un mois si je me décide et me propose, sans que je ne demande rien, une petite ristourne. Banco : j'envoie l'acompte, sans même aller la voir. Début octobre, je prends le train pour aller la récupérer à 500 km de chez moi. Un poil fébrile à mon arrivée sur place, aucune mauvaise surprise ne m'attend. Que du bon, même. La route du retour sera un pur bonheur, même si je vais passer tout près du retrait de permis en doublant deux camions d'un coup après 40 bornes coincé à 70 km/h… 130 au lieu de 90, ça pue. Et là, tandis que le gendarme contrôle mes papiers, une Mini Cooper S en échappement Fullbordel passe à côté de nous à mille km/h (au moins). Le gendarme et moi-même ne pouvons nous empêcher de nous regarder, sourire (coincé) en coin… "Allez, c'est bon, je vous remets en circulation…", qu'il me lance en rigolant à moitié et en me jetant mes papiers au visage. Depuis, je bénis toutes les Cooper S que je croise. Ce fameux jour : Quelques jours plus tard, avant que je ne vende la Giulietta : Encore quelques-unes : Et avec ses jantes hiver, dénichées dans l'urgence avant un séjour à la montagne, et qui auraient bien besoin d'un coup de jeune : Après 6.500 km à son volant, je ne regrette pas d'avoir craqué pour cette GT. J'aime la sonorité et la souplesse hallucinante de son V6, le coup de crayon sans fioritures de Bertone, sa discrétion (surtout dans cette teinte), la façon dont le plancher émet plein de good vibes quand j'écrase fort la pédale de droite depuis les mi-régimes, son comportement routier, précis et sain… Cette voiture me donne le sourire a chaque trajet, c'est mon premier véritable coup de cœur à quatre roues. J'espère la garder très longtemps, même si elle deviendra probablement un jour ma voiture plaisir. Prochaine étape de ce showroom : les motos… @ + !
  14. Tout ! Je ne suis pas un grand habitué des forums et ma présentation était un peu à côté de la plaque : je n'y parlais quasiment que de mon ex 159. D'où cette modification, plutôt que de créer un nouveau fil. @ + !
  15. Hello ! "Petit" update de ma présentation (dans le premier post de ce fil) en ce jour... Je sais, il était temps ! @ + !
  16. Bonjour à tous, Je reviens très tardivement sur mon petit souci, au cas où mon expérience puisse un jour servir à quelqu'un. Après avoir scruté mes trains roulants attentivement avec un ami mécanicien, je ne trouvais rien, et désespérais de connaître un jour la provenance de ce bruit certes léger et qui n'empirait pas, mais très agaçant. Ce claquement était en fait dû à une vis moteur desserrée du côté de la distribution (cf. cercle rouge sur la photo), qui m'avait échappé jusque-là. Probablement un mauvais serrage du mécano lors du changement de mon kit distri... En butée contre le châssis, elle ne pouvait pas sortir de son logement. Mais dans les bas régimes, lorsque le moteur vibre le plus, il résultait du contact métal vs métal un bruit peu agréable, qui remontait trèèèèèès bien dans l'habitacle... Si l'un de vous connait le rôle de cette vis (1.9 JTD 150), je suis preneur. Car j'espère ne rien avoir endommagé en ayant parcouru un bon paquet de kilomètres ainsi. Je pense ramener la voiture au garage, et demander une vérification des serrages. C'est dingue comme une petite connerie peut nous pourrir la vie... :D @ + ! AtommyK
  17. Bonsoir à tous, Depuis 6 mois que j'ai ma 159 TI 1.9 JTD 150, j'en suis plutôt très content. Mais depuis quelques semaines, un bruit étrange gâche quelque peu mon plaisir de conduite... Ce bruit intervient : - sur les trois premiers rapports (à partir de la 4e, je ne sais pas si le bruit disparait ou si le bruit de roulement général de la voiture l'étouffe), - en charge (légère ou appuyée), - à l'avant de la voiture (soit roue avant droite, soit compartiment moteur, mais toujours vers la droite depuis le poste de conduite), - en ligne droite ou dans les virages à gauche. Le bruit est une sorte de claquement régulier, un peu comme si on chiffonnait un sac en plastique, agrémenté de quelques cling-clong plutôt légers. Au point mort (sur l'élan), et/ou lorsque je tourne à droite, aucun bruit parasite ne se fait entendre. J'ai pensé au cardan, mais il a l'air propre (joint nickel et pas de graisse) et ça ne claque pas de façon "sèche". Je pense bien entendu montrer ça à un garagiste. Mais si vous avez quelques pistes à me proposer en amont, je suis preneur. Merci beaucoup, et bonne soirée ! AtommyK
  18. Salut romeogt (et à tous), C'est vrai que le 1.9 150 JTD est un peu creux à bas régime. Surtout que je sors d'un TDI 140 ch bien coupleux (et en DSG de surcroît). Mais bon, comme toutes les voitures, il suffit - dans la grande majorité des situations - de compenser les défauts en anticipant et en accompagnant la mécanique. Curieusement, depuis que j'ai cette TI, je roule comme un vrai pépère (sans omettre de tirer dessus de temps à autres à chaud pour sa bonne santé). En fait, je crois que j'essaie de passer le plus de temps possible derrière son volant ! A la base, j'hésitais entre me faire plaisir niveau moteur avec une 156 GTA, ou niveau châssis et look avec une 159 TI. Mais j'avais besoin d'une voiture en "relative urgence", et je pense qu'il faut prendre le temps de trouver "LA" bonne GTA. J'ai donc laissé tomber l'option 156. Les 159 sont plus courantes et récentes. Le V6 Holden ne m'attirait que moyennement : j'ai essayé le V6 Arese dans une 147 GTA et une GT, et j'avais peur de rester sur ma faim en comparaison. J'étais plus intéressé par le 2.4 JTD 5-cylindres. Mais de toute façon, l'un et l'autre ne sont pas faciles à trouver en version TI, surtout dans le budget que je m'étais fixé (je ne voulais pas dépasser 12000 € et 100.000 km au compteur)... Donc, là encore, j'ai laissé tomber. J'avais peur de trouver le 150 vraiment juste dans cette lourde auto avec ses grosses baskets. Mais finalement, à l'essai, je l'ai trouvé très agréable. Certes, il n'a rien de sportif, mais après 1500 tr/min, sa courbe de puissance est bien pleine. Et il est largement suffisant pour "doubler vite". Rien n'empêche de se lâcher et de jouir des excellents trains roulants (et du gros freinage !) de cette belle Italienne de temps à autres dans les enchaînements de virages ! Après, c'est sûr qu'en montagne, en sortie d'épingle, ce creux sous 1500 tr/min doit être limite frustrant... Je verrai ça quand j'irai dans le Jura cet été ! @ + ! AtommyK
  19. Hello et merci à tous pour vos messages de bienvenue ! Le premier voyage en famille dans la 159 fut des plus agréables. Mes filles l'ont bien adoptée ! (Ouf...) :) @ + ! Tom
  20. Hello à tous, Ça fait un moment que je (re)viens zieuter ce forum... sans jamais rien poster. Et en jetant un œil à ma présentation, je me rends compte qu'elle était vraiment naze. Je prends donc quelques minutes pour remettre tout ça en ordre en ce morne (dehors en tout cas) dimanche de février 2017. Donc, moi, c'est AtommyK, 35 ans (pour l'instant, ça va pas durer), alfiste convaincu (ou presque) depuis avril 2004. Après une 147 1.9 JTD 105 Progression de 2004, une Seat Altea TDI 140 DSG de 2007 (d'où le "ou presque"...), une 159 1.9 JTD 150 TI de 2009 et une Giulietta 1.4 Multiair 170 Exclusive TCT de 2012, j'ai craqué en octobre dernier pour une GT 3.2 V6 de 2005 en provenance de Suisse, dans un très bel état et avec seulement 63.000 km au compteur. Malgré mes nombreuses passions ô combien dévorantes et onéreuses (moto, VTT, batterie – celle qui fait boum boum, pas celle qui fournit le jus nécessaire pour ébrouer nos chères mécanique – et surtout, ma femme et mes filles – qu'est ce que ça coûte cher, ces trucs-là...), j'ai décidé d'effectuer mes trajets quotidiens au son de ce fameux Busso – ou Arese, selon l'appellation que vous lui préférez – dans sa configuration la plus aboutie. C'est mon premier véritable coup de cœur automobile : si, jusque-là, j'aimais les Alfa, elles me servaient avant tout de "déplaçoires" (d'où leurs configurations raisonnables) et je privilégiais largement mes motos. Cette GT occupe désormais une belle place dans mon répertoire passionnel. Alors, je sais… Lorsque je me suis présenté sur un forum dédié à mon coupé Alfa, certains ont tôt fait de me faire remarquer que j'étais fou de faire de ce futur collector un daily. Fou, je le suis certainement un peu. Mais je ne suis en revanche pas du genre à spéculer sur la valeur de mes véhicules. Mon mot d'ordre est plutôt "carpe diem". Quitte à faire des kilomètres, autant les faire avec le sourire ! Dans la mesure où ce choix ne met aucunement le niveau de vie de ma famille en péril, j'ai décidé de m'accorder ce plaisir. Après quatre mois et 6.500 km, je ne regrette aucunement. Il faut dire que je roule dorénavant assez peu (20 000 km par an environ) avec mon véhicule perso, que je vis en pleine campagne, que mes filles (8 et 4 ans) tiennent encore largement sur la banquette arrière sans toucher le toit, et que le coffre est quand même sacrément spacieux pour une voiture de ce type. Depuis le temps que je rêvais d'un V6 Alfa, je me dis qu'après tout, c'est une petite folie très accessible : ma GT m'a coûté moins cher qu'une Clio diesel neuve. Le budget carburant est certes incomparable avec ce que j'ai connu jusqu'à aujourd'hui. Le budget entretien (il va falloir que je passe par la case distribution dans ces prochains mois : si vous avez une bonne adresse à me conseiller dans le 45 ou pas trop loin, je suis plus que preneur) va également s'avérer conséquent. Mais je suis prêt à faire ces efforts financiers pour avoir la banane lors de chacun de mes trajets, tout en veillant à maintenir ma belle dans le meilleur état de forme possible. Et tant pis pour la mouvance actuelle visant à culpabiliser les "petrolheads". Je fais attention à plein de choses, j'éduque mes filles dans le plus grand respect possible de l'environnement, j'ai récemment réalisé (par amitié, sur mon temps libre) les sites webs de deux cultivateurs bio, mais je brûle joyeusement le sang de la terre. Nous avons tous nos contradictions… En parlant de (gros) budget entretien / essence (et comme je sais que l'un de mes confrères, Vdue, sévit largement ici), j'ajoute que j'ai le privilège de gagner ma vie grâce à ma passion première, puisque je suis rédacteur en chef du premier magazine français sur le sport moto de vitesse. Je me rends donc régulièrement sur les Grands Prix et autres rendez-vous incontournables de la compétition moto, et j'ai le privilège de piloter de temps à autres quelques machines très exclusives, comme la Suter MMX 500 (V4 2-temps, 190 ch pour 130 kg) visible dans mon avatar. Mais je reviendrai sur tout cela dans mon showroom, que je vais de ce pas mettre en route ! :) Je vous glisse en attendant une petite photo de mon actuelle GT, posant fièrement à côté de mon ex Giulietta : @ + ! AtommyK
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